Les OUVRAGES DE RÉFÉRENCE sont une source d’information pour quiconque s’intéresse à l’histoire des Vézina arrivés au pays depuis 1659.
Voici quelques résumés sommaires de livres écrits par l’auteur Gérard Vézina.
Le contenu des ouvrages donne des informations historiques sur des ancêtres Vézina, une description des époques dans lesquelles leurs vies se sont déroulées.
Trente années de recherches, menant à une précieuse cueillette de renseignements reliés aux personnages, autant dans leur vie familiale que sociale et professionelle.
On réalise à quel point des ancêtres VÉZINA ont pris part à l’avancement de certaines causes, en plongeant au coeur de leurs vies.
Ces écrits contiennent tous d’intéressantes et précieuses références d’historiens, et/ou de chercheurs, pour quiconque voudrait pousser plus loin sa propre recherche.
R É S U M É S
«Essai biographique sur L’ANCÊTRE JACQUES VEZINAT»
«Essai biographique sur l’ancêtre JACQUES VEZINAT (1610-1687)» relate son départ de La Rochelle sur le vaisseau Saint-André, ainsi que l’incroyable aventure qui l’amène jusqu’à Québec. Dès l’arrivée, on découvre l’insécurité dans laquelle vit la colonie, particulièrement face aux incursions Iroquoises.
L’enracinement se fera sur la « Coste des Beaux prés », près de la Chute Montmorency. Parmi les enfants de Jacques Vezinat et Marie Boisdon, deux fils, prénommés tous deux François, contribueront à propager le patronyme Vézina en Amérique. Divers extraits de contrats notariés nous immergent dans le contexte social de l’époque.
115 pages, édition 2001 et réédition 2008.
«L’ANCÊTRE JEAN-BAPTISTE VESINA …au temps de la Conquête»
Jean-Baptiste Vesina vit à l’époque de La CONQUÊTE, période tragique de notre histoire. 1759, Wolfe et ses officiers établissent leur campement près de la Chute Montmorency et occupent les maisons avoisinantes. Ils quitteront les lieux le 2 septembre, après avoir incendié la Côte-de-Beaupré, l’Île d’Orléans, la Côte-du-Sud et plusieurs paroisses des environs. Après le décès des deux généraux, sur les Plaines d’Abraham, 250 prisonniers sont transportés en Grande-Bretagne; parmi eux: Gabriel Vézina, frère de Jean-Baptiste.
Après avoir exercé son métier de charretier à Québec, JEAN-BAPTISTE sera fermier au service des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Québec, en 1764, sur leur ferme à l’Isle-aux-Oies. En 1770, il s’établit à l’Isle-aux-Grues avec son frère Michel. Des neuf enfants de Jean-Baptiste et Geneviève Trudel, quatre garçons survivent; tous s’établissent sur l’Île. Trois d’entre eux épouseront trois sœurs Bourgault.
165 pages, édition 2002.
«L’ANCÊTRE OLIVIER VÉZINA, pilote sur le Saint-Laurent»
L’histoire d’Olivier Vézina nous plonge au coeur de sa vie de marin, ainsi que de celle de quatre de ses frères, pilotes sur le Saint-Laurent, au temps de la navigation à voile. Ces insulaires de l’Île-aux-Grues ont un destin émouvant et captivant. Ces « hommes de mer » étaient aussi audacieux que téméraires. Les nombreux récits de naufrages de l’époque en font foi. Olivier épousera la veuve d’un confrère, décédé par noyade.
Une route semée d’écueils désigne bien le parcours périlleux qui jalonnera leur existence. Ce sont des hommes de fer sur des coques de bois. Ils côtoient les nombreux immigrants Irlandais et connaissent le séjour obligé sur l’Île de la Quarantaine. Olivier vit les incendies majeurs de la Ville de Québec. Cet ancêtre réputé être «Le prêteur» passe au-delà de 100 contrats notariés ayant pour objet des obligations. Le pilote était aussi « brasseur d’affaires ».
173 pages, édition 2004.
«Nos Aïeux Vézina…»
Cet ouvrage relate la vie, le parcours de trois des fils du pilote Olivier: l’aîné, l’abbé Désiré Vézina, d’abord professeur au Petit Séminaire de Québec sera par la suite curé à Matane puis à Trois-Pistoles où il aura la tâche et l’obligation d’y faire construire une église-cathédrale, malgré une grande controverse installée dans la communauté, en rapport avec ce projet .
Cajetan et Omer, ses deux frères, iront défricher des terres à Hébertville. Ils y feront figure de pionniers dans la famille Vézina. Ils y vivront les heures du GRAND FEU de 1870, -St-Félicien jusqu’à Grande-Baie-. Cajetan, marchand-cultivateur, fonde la première fromagerie d’Hébertville en 1882. Il devient agent des terres en 1904. Son frère Omer tient un magasin dans le Rang Caron pendant une dizaine d’années. Il sera maire d’Hébertville pendant 2 ans. Leurs descendants connaîtront les déboires et conséquences de la crise de 1929. Cet ouvrage couvre cent ans d’histoire de Vézina sur trois générations.
209 pages, édition 2006.
Le document qui suit n’est pas une BIOGRAPHIE, mais peut intéresser tous les Vézina qui sont les descendants de l’un ou l’autre des deux frères François: l’aîné et le puîné
«L’Historique de la MAISON VÉZINA» (de Boischatel)
Ce document fait revivre l’histoire de la terre sur laquelle se sont établis FRANÇOIS VÉZINA, l’aîné, et son épouse Jeanne Marié, transmise à leurs descendants, de 1666 jusqu’aux années 2000. Ils y ont cultivé le sol et habité ces demeures plus que bicentenaires. Un tableau retrace les dates et le nom des propriétaires après chaque donation; la généalogie de ces familles fait partie de l’intérêt lié à cet ouvrage.
En raison de subdivisions, nous trouvons aujourd’hui sur cette terre ancestrale la présence de trois maisons :
- L’une est située dans le Parc de la Chute-Montmorency.
- La deuxième La «Maison Vézina», a comme vocation, depuis 2002, de faire connaître son passé, et de promouvoir en ses murs, diverses activités culturelles et artistiques.
- La troisième, aussi une maison Vézina, est sa voisine à l’ouest.
Toutes trois font partie de l’ensemble du «Parc-de-la-Chute-Montmorency», classé bien culturel le 20 décembre 1994.
53 pages, édition 2007.
«Colonisateurs VÉZINA à Saint-Pierre de l’Île d’Orléans,
les frères Jean et François Vézina, 1803»
Deux frères, JEAN et FRANÇOIS Vézina, quittent L’Ange-Gardien pour aller s’établir à Saint-Pierre de l’Île-d’Orléans en 1803. On retrouve la chronologie des événements, par les contrats d’achat ou de donation des terres, tout au long de 207 années (1803 à aujourd’hui).
Documenté à partir de nombreux actes notariés, ainsi que de photos d’ancêtres, ce récit permet de suivre les traces de plusieurs générations de grandes familles Vézina de l’Île, histoire étalée sur quelques siècles, et de mieux connaître ces propriétaires terriens.
56 pages, édition 2011.
«Pionniers VEZINA en Lanaudière…»
L’objectif de cette recherche a d’abord été de faire connaître l’origine du patrimoine Vézina dans la région de Lanaudière. En raison du temps déjà consacré à l’investigation, l’auteur a dû se limiter à l’étude du parcours des cinq pionniers et de leurs familles immédiates. La découverte de ces «cinq aventuriers» nous renseigne sur leur histoire personnelle et familiale. Il défricheront leurs «terres en bois debout et farcoches», pour les faire fructifier et y établir leurs familles.
Le débroussaillage d’une quantité considérable de contrats notariés nous permet de suivre leurs traces à travers des actes d’achats, d’obligations, de vente, de donation, etc. Par leurs alliances avec les familles Archambault, Perrault, Brisson, Rivest, Laperche et Bousquet, ils bénéficient de l’influence de leurs belles-familles, chacun différemment. L’orientation de leurs vies familiales en est sans doute influencée. Les lignées de ces cinq pionniers Vézina se retrouvent aujourd’hui, non seulement à Saint-Roch et à Saint-Esprit, mais aussi dans toute la région de Lanaudière et des environs.
200 pages, édition 2014.
Ces productions sont disponibles chez l’auteur:
Gérard Vézina : histoirevezina@videotron.ca
tél.: 418 872-0226